Dialogues RP => Extension au RP de L'île

*regarde la scène d'un air désolé*

Mickey, une confession vous tenterai-il aussi ?

Je suis sûre que le père Fausto n'y verrait pas d'inconvénient... n'est-ce pas mon père ? *RonRonRon*

Ne soyez pas désolé Monsieur Mike .... Pourquoi se désolement si soudain ?

Yop les nazes! Comment ça baigne?
J'passe un p'tit coup, histoire de voir si je peux faire un petit mouvement lors du festin...

Bonjour Jenny,

Ainsi nous prépare tu quelque chose à ta manière pour ce festin ?

Ouaip. J'trouve que ça manque d'épices!

Pourtant altercation il y a eu ... Mais peut-être qu'un petit regain de sauce à la Jenny serait tout bonnement inmanquable !

C'est une désolation devant les pentes irrémidiables de l'humain, un sursaut de philosophie sans doute.


Mademoiselle Jane, vous nous manquiez. Si vous souhaitez saupoudrer d'épices les lieux, n'y allez pas de main morte, tout dort ici...

Tu parles du petit fritage entre Vince et James? Bah, c'est rien ça!
Tant que Jenny n'est pas là, y'a pas d'sang!

Si vous souhaitez du sang, puis-je vous suggérer ces petits cubes de bois qui servent à présenter les plats sur le buffet... à haute vélocité ils doivent laisser plus qu'une trace sur celui qui le prendrait en pleine face...

Des petits cubes de bois? Bonne idée, ça, j'ai plus de munition...

Jenny, juste pour épargner tes yeux si innocents, ne vient pas faire joujou avec ta fronde dans la chambre de la grande maison... quoi que, ça en calmerait peut être un ! ()

La grande maison... ça ferait un bon poste de garde, ça, non?

ça pourrait, ça pourrait Jenny !! ()

Hummm surement oui ! d'autant plus qu'il y a une chambre commune... donc surement des allers et retours à venir ! ^^

Kheira Cruz a écrit:

Jenny, juste pour épargner tes yeux si innocents, ne vient pas faire joujou avec ta fronde dans la chambre de la grande maison... quoi que, ça en calmerait peut être un ! ()

Qui voulez-vous donc calmer?

A votre avis Mickey ?

Franchement, s'il s'agit d'un chauffeur au caractère un peu brut de décoffrage, il n'y a aucun soucis, il ne m'a pas semblé avoir besoin d'être calmé, il l'est déjà.

Sorry Kheira, mais j'ai choisi l'atelier!
Histoire de pouvoir préparer mon absence.

Pas de soucis GI Jenny

(absence.... tu vas encore disparaître... )

Il n'est pas admissible d'imaginer simplement que vous puissiez penser ne serait-ce qu'un instant à vous absenter.

Non mais!

Bonsoir, présents ou non.
Un éclat vient de me faire comprendre la raison d'une certaine retenue naturelle vis-à-vis d'une personne particulière.

Donc :

Monsieur Mike, nos relations ne sont guère entachées de sympathie. Et je viens de comprendre pourquoi, c'est parce que vous semblez être un héros.

Et que de mon côté, les héros de carrière me laissent totalement indifférente.

Les héros ont brillants, éclatant, épousent l'héroïne à la fin. Ils terrassent des monstres en souriant et servent toujours la juste cause. Ils savent où ils vont et ce qu'ils font.

Suis-je fait de ce métal à vos yeux?

Enfin, qu'importe, haïssez-moi si cela vous procure quelque force. C'est déjà que j'aurai bien réussi à être utile à quelque chose.

Je n'ai pas dit que je vous haïssais, mais vous m'êtes indifférent. Alors qu'habituellement, quoi qu'on en dise, je suis plutôt optimiste sur la nature des êtres.

C'est une notion que m'a inculquée mon père : ceux qui ont brillance et réussite permanente ne sont pas des héros, ce sont des favorisés de la vie.

Mais ceux qui luttent à chaque instant pour parvenir à leurs fins, en réalisant des prouesses, même s'ils paraissent ternes, ce sont des héros.
En tant que militaire, mon père a toujours été fataliste, pour se résoudre à perdre n'importe quand un proche, par le cruel jeu du hasard. Et je le crois. Sans doute cela s'apparente-t-il à de la jalousie, après tout ?

Masi la phrase en elle-même n'est pas de moi. C'est un soldat australien qui l'a citée à mon père, peu après ma naissance, alors qu'il croisait les forces anglaises en Picardie.

Soit.

Donc je vous indiffère. Je devrais en être contrit et me démener pour me rendre intéressant à vos yeux, pour vous complaire.

Mais, vous avez raison, ce n'est pas dans ma façon d'être.


D'ailleurs, je ne vous connais même pas encore.