Le petit salon

Shariel, a pas de loup, regarda s'il n'y avait personne dans la pièce.
Pas un chat!

Elle y entra et alla directement se vautrait dans un des fauteuil près du feu.
Son pelage sombre frémit, qu'il y faisait bon...

La seule chose qui troublait Sha était surement ce fantôme au regard vide, sans vie, emplis d'une immense tristesse, fixant pendant une éternité de glace la photo...

Hm... Shariel se mit en oule, ses oreilles dépassant du bras qui entourait a présent sa tête, celle-ci écoutait le moindre crépitement du feu...
Le feu, une puissance si dévastatrice...

Elle s'assoupit, mais les souvenirs revînt.
Elle avait faillit le tuer!
Alors que, comme il l'avait dit, il ne lui voulait rien!

Un exorciste, un chasseur en ses murs...
Ce n'était pas très rassurant.
Entre Gautoma, Elrazath et la voix...

La voix, etait ils que deux a l'avoir entendu?
Ou tous le monde avait il entendu cette voix?

Si familière a l'ouïe de Shariel.
Cela lui rappellait la dure enfance, enfin, elle ne se rappelle pas de son passé passé, le plus lointain souvenir c'est a l'âge de 13 ans...
Le premier combat, elle croit.

Enfin, avec tous le sang qu'elle a fait versait, l'on pourrais remplir un lac!
La mort dans son plus simple appareil...

La chatte n'était pourtant pas méchante.
Pa vraiment...

Enfin, si.
Quand même!

Sans ce collier si précieu d'ou elle avait puissé la force, la puissance, la survie surtout, elle ne serait surement plus de ce monde...
Abbatue par la fatigue, les mauvais traitements, ou simplement les autres chiens de combat...

Tous le monde ce disait avoir un passé dur, mais tant que l'on ne connaît pas ce que autres, on ne peut rien dire, enfin, c'était l'avis de Shariel.

Elle, au abord du feu, s'endormit et se mit a ronronner furtivement.

Shariel sursauta, de la salle commune, le bruit vînt la troubler.
Alors, elle n'était donc pas la seule a avoir entendu le Arretes!

Elle en était sur, l'hôte se cachait et elle irait le chercher!
Le malautru l'avait cherchait.

Elle ne voulu pas détachée son collier cette fois-ci, mais a quattre patte, elle partit a la recherche de l'hôte...

[Suite/ La Salle Commune/ La Cave]

En s'approchant du petit salon, Jessaryn n'entendit aucun bruit, soulagée qu'il n'y est personne, elle pénétra dans la pièce. Elle préférait être seule pour la tâche peu gratifiante qu'elle comptait accomplir.

Tout en grommelant, elle s'approcha du fantôme, et innocemment, lui tendit la main.
Voyant que rien ne se produisait, elle la retira, et réfléchit quelques instants, tout en essayant d'enlever la bague.

Veux-tu t'enlever, nomdidiou de ******

Elle jura comme une charretière, puis ayant passé sa colère, elle approcha son doigt bagué du feu, jusqu'à ce qu'il touche les flammes. Se mordant les lèvres au contact de l'intense chaleur, elle enr etira pourtant pas sa main, elle attendait patiemment d'arriver à ses fins.

Petite bague, tu es intelligente, ce serait regrettable que tu brule malencontreusement, ta propriétaire ne s'en remettrait pas...

Puis Jessaryn souria, victoire, elle sentait la bague glissée de ses doigts.

*Gling*

Elle était maintenant à terre, au pied du fauteuil du fantôme.
N'osant plus y toucher, Jessaryn se releva, et n'étant pas prête de retourner dans la Salle Commune après ce qui s'était passé, elle décida de rester dans le petit salon, enfin seule.
Gautoma avait parlé de Passage Secrets, elle se mit donc en tête d'en trouver un.
C'est ainsi qu'elle retourna tous les livres des bibliothèques, , qu'elle déplaça les objets se toruvant sur la cheminée sans succès. C'est alors qu'elle décida d'examiner les murs.
Ca et là, se toruvait des pierres autour desquels le ciment faisait défaut, elle appuya sur l'une d'entre elle, puis sur une autre.
Une bibliothèque se déroba, dans un immense nuage de poussière.
Jessaryn éternua plusieurs fois, puis elle se dirigea vers cette entrée, un escalier débutait juste devant ses pieds, prenant son courage à deux mains, elle descendit les marche, jusqu'à ce retrouver dans le noir, devant une paroi qui semblait en bois.

A tâton, elle chercha une poignée, ou n'importe quoi lui permettant d'ouvrir ce passage. Puis se mettant sur la pointe des pieds, elle sentit du bout des doigts une sorte de loquet.
Elle parvint à l'actionner, et la paroi se mit à bouger.

Quand tu veux, tu es capable...

Elle pénétra dans une pièce, à sa plus grande joie, elle reconnut une Salle de Tortures.

» Le salon de musique