La salle commune

Chippie Nombre de messages : 54 Date d'inscription : 29/07/2005

Gaïanne n'en avait plus rien a faire de ce nain qu'elle s'obstinait a questionner sur son nom...
La pendule sonnant 2 fois minuit l'avait retourné, pas tant que le bruit immonde et tremblement dont elle était habitué dans ses chasses aux buffles.

Maintenant l'hôte anonçait une sorte de victime en la personne d'avalone, l'un des premier convive qu'elle croisait a son entrée.
Il jurait contre cet hôte mystérieu

Gaïanne s'approchait alors de lui, a pas tres lourd, les flammes de l'enfer brulait dans ses yeux. ne rage incroyable. L'on aurait dit qu'elle allait déchiqueter le mage avalone et lui bouffer les entrailles, mais a non niveau elle lui dit

Ne vous inquiétez pas messire, s'il devait vous arriver quelque chose, je vous aiderais
. Avec un peu de chance je pourrais mettre la main sur cet andouille qui joue avec nous, plus ou moins depuis notre arrivé ici

Elle se retourna vers les autres convives, muet comme des carpes avarié et livide comme des lins seul.

J'éspère que vous allez oubliez vos manières mesquine et que l'on puisse s'associer pour,
dans un premier temps,
trouver notre hôtes
et ensuite le torturer
Nous aussi on a le droit de jouer avec lui

Bavard Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 05/07/2005

Qu'ont tout ce"s gens, c'est la seconde fois que je m'adresse à l'un deux et c'est la seconde fois que l'on mignore. Qu'ai je donc fait ? Ce manopir soi disant hanté...il ne s'y passe rien...

Comme si les paroles de Valheru avaient été entendues, un étrange phénomène se produisit.

Evenement N°1

Tiens donc, notre hôte peut être, qui sait, serait-ce l'homme que j'ai croisé sous cet arbre ? Enfin, continuons donc à manger, personne ne viendra me déranger, je suis aussi discret qu'un muet parlant à des sourds.

Continuant à manger tranquillement, un second évènement vint troubé sa quiétude.

Evènement N°2

Valheru, voyant cet homme en si mauvaise posture se lève en allant dans sa direction :

Messire, vous allez bien ?

C'est à ce moment là que l'homme disparait et que tout redevient comme avant, voire mieux puisque tous les couverts et les plats sont mis, remplis qui plus est.

Tiens donc, il y en a un au moins qui s'amuse bien ici, montre toi donc toi qui joue avec tes invités, te penses tu plus fort que nous pour nous provoquer ainsi ? Pourquoi devrions nous venir à ta rencontre ? Aurais tu peur de te présenter devant nous tous ?

Attendant une réponse, Valheru se rassit. Bien entendu, il n'en espérait aucune, ayant été oublié deux fois précédement.

Seule un verre titube sur la table et tombe sur la nappe. Le vin qui s'en déverse ne suit pas la trajectoire qu'il devrait et s'approche de Valheru jusqu'a venir déposer les inscriptions suivantes devant lui :

"Tu seras le second".

Le nain suivit Gaïanne:

"Dame Gaïanne... notre hôte commence à m'échauffer les oreilles. Vous avez l'air déterminée à le trouver, et quant à moi je lui ferais bien tâter de ma hache. Vous avez du cran, mon arme est avec vous."

Le nain n'éprouvait pas de sympathie particulière envers l'humaine, mais il savait reconnaître ses alliés de ses ennemis. Et puis, ça promettait enfin un peu de distraction...

George Nombre de messages : 148 Date d'inscription : 21/07/2005

L’elfe de son état fit un bon de dix coudés, pale comme le derrière d’un curée, elle s’accrocha à mon bras, y plantant ses ongles jusqu’à l’os, faute de manucure sans doute, mais ça n’était rien… l’habitude !

Allez, charmante Aenoria, en piste, la table nous tend les bras, les quelques victuailles aussi, soit dit en passant, quel rapiat l’hôte… Dis-je sans attendre une réponse et attrapant la main de l’élégante, l’entraînant de manière peu courtoise, mais la, le manoir me fatigue l’activité cérébrale et chamboule mes manières…

D’un reste de bienséance, je tirais une chaise, pour l’offrir à Aenoria et l’attablais calmement, je sentais que cette voix venue de nulle part, la perturbait et m’asseyant à mon tour, je lui versais une brouette de bière, pour lui redorer le blason et décontracter sa si jolie présence.

Je tentais par un biais de galant, de lui faire oublier le tremblement qui s’était emparé d’elle, au son sournois de l’hôte, lorsqu’un individu encore inconnu se mis à vomir tripes et boyaux ; l’odeur qui s’en dégagea me glaça le sang…
L’instant suivant, les chairs de l’inconnu gisaient au sol, inquiet, abasourdi, je pris mon verre pour assagir et digérer la scène et le portais à ma bouche…

D’un jet, je recrachais le liquide rouge, confus, essayant une bonne figure, je constatais la mise en scène macabre et écœurante ; la pièce était couverte de sang et de chairs putrides…

Sous l'horreur de la vision, Aénoria ferma les yeux et sa réaction premiere fût de se tourner et de se blottir serrée contre le buste d'Avalone. La peur et l'ecoeurment l'épuisaient completement. Elle aurait voulu n'avoir jamais accepté cette invitation mais il était bien trop tard pour faire marche arrière... La maison ne lui en aurait pas laissé l'occasion.

Lorsque la pièce eut repris une apparence normal, le jeune mage lui posa la main sur l'épaule comme pour la rassurer. L'odeur infecte qui un instant avait empli la pièce avait disparue et laissait à nouveau place à l'odeur des victuailles qui avaient regarnies la table. L'elfe leva la tête encore effrayée. Un homme se leva visiblement à bout suite aux evenements qui venaient de se passer. Il défiait la maison et le maitre des lieux, et la réponse de l'hôte ne se fit pas attendre.

Lorsqu'elle vit les mots se former sur la table devant l'homme qui venait de demander des comptes au maitre de maison, la panique d'Aénoria sceda la place à la colère.

Le premier quoi? et le second quoi? Vous voulez nous effrayer? Soit! mais au moins faites des phrases entieres... Si on a tous été invités pour mourir torturés par cette maudite barraque autant nous le dire tout de suite qu'on soient fixés.

George Nombre de messages : 148 Date d'inscription : 21/07/2005

D’une situation scabreuse et pas franchement affriolante, une situation sensiblement plus appréciable venait à moi, sans mot dire, sans charme établi, je me retrouvais une donzelle fort bien faite, blottie contre moi…

- Chère hôte, si c’est cela ma pénitence, je veux bien en prendre jusqu’à la fin des temps, alors vas-y, te gène pas pour moi et fait péter la suite !

Usant et abusant de la situation, je passais un bras protecteur autour de la belle tombait sur ma poitrine et l’enlaçais fortement, affirmant de ma présence robuste… En réalité, j’avais les j’ton et la menais pas plus large que la souris devant l’orc,…

D’ailleurs, il fait quoi l’orc…

Comble d’Avalone, ma douceur enlacée se mit à hurler, pas de peur, à mon grand regret car j’aurais aimé poursuivre mon petit réconfort, mais de colère…

Bavard Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 05/07/2005

Notre hôte cherche simplement à s'amuser avec nous, à nous effrayer quelque peu aussi qui sait. Ce petit jeu est assez amusant, cela mets du piment dans le petit manoirounet où nous sommes ne trouvez vous pas vous deux ?

Il s'adressait au futur "couple of the manory", traduisez par couple du manoir se trouvant à ses côtés.

Allons bon, j'ai toujours aussi faim, mangeons et buvons, je serais le second, j'ai encore le temps de m'en mettre dans la panse. Et puis, je trouve que cela manque d'ambiance ici.

Regardant vers le plafond :

Notre hôte saurait-il nous jouer un quelconque morceau ou nous mettre une quelconque musique afin de faire bouger ces dames et ces messieurs ? Le manoir est comme qui dirais figer par vos supercheries.

Le meilleur moyen de découvrir note hôte est de lui lancer quelques défis, voyant un peu comment celui-ci y répondrait...

Mais vous etes tout aussi cinglé que notre hôte. La scène qui vient de se jouer sous nos yeux vous trouvez ça amusant vous? et le fait qu'il soit encore et toujours minuit ca ne vous dérange pas? Vous acceptez une invitation d'un inconnu et vous trouvez cela amusant. Les porte se ferment à votre nez et vous trouvez ça amusant? Les murs vous aspirent et vous trouvez ça amusant? Des énormes araignées se promènent partout et vous trouvez ça amusant?

Elle était devenue hystérique. Tous ce qu'elle avait vecu depuis qu'elle était arrivée en ce manoir venait de depasser ce qu'elle pouvait accepter. Son mental en avait pris un coup, elle était en train de craquer. Peu à peu, elle sentit les larmes monter dans sa gorge, les ravaler la fesait souffrir, elle eclata en sanglot.

Bon sang, voila que je pleure, mais j'ai jamais pleuré avant... pour quoi je vais passer encore. J'en ai marre de cette barraque qui joue avec mes nerfs et de cet hôte à la noix.

George Nombre de messages : 148 Date d'inscription : 21/07/2005

- Aïeeeee, mes frontons délicats…

Aenoria hurlait à qui veut entendre, envers et contre tous, partout et surtout aux convives pas tous effrayés. Mon voisin de tonneau, entrait dans une prose presque poète et moi, je me bouchais les oreilles…

Tympans assommé, mais l’humeur guillerette, je m’amusais des provocations de l’hôte qui jouait du méchant, et constatant mon verre à nouveau emplit de bonne bière, j’avalais la boisson houblonne.

Toutefois, une fois terminé son égarement buccal, la douce elfe et compagnon de déboires pour cette fois, se mit à pleurer, impossible de rester impassible, l’hôte m’amusait, pas les pleures d’une jeune fille.

Je me levais, sans fanfaronnade excessive, passais un bras autour de sa taille, approchais ma tête de son oreille et lui parlais à voix basse, faisant foi de mon ton le plus apaisant et d’un emportement fichtrement singulier, je lui mordillais le lobe… !

Je rouspétais contre les manipulations de l’hôte, pour la forme, j’adorais ça, en tout état…

M’excusant auprès de la douce apeurée, ma main se mit à œuvrer en solo… J’avais beau user d’argument irréfutable à convaincre la partie dirigeante de ma cervelle, ma main n’en faisait qu’à sa tête, espiègle, elle se glissa sur les fesses d’Aenoria…

Je craignais en retour de cet exploit de l’hôte, une main parfaitement placée au cœur de ma joue et j’implorais clémente attitude de ma compagne…

Ces folies ne sont pas de moi, l’autre la bas, qui cause plus qu’il ne se montre, de sa gueule par trop vantarde, me vole sans scrupule, mes gestes propres, lui dis-je, presque convainquant.

Les bras securisant d'Avalone venaient de l'entourer. Sa voie securisante au creux de l'oreille d'Aénoria la calma peu à peu. Après tout ce qu'elle avait vécu, elle avait besoin d'un tel reconfort. Il lui mordilla alors l'oreille. Le bougre devenait entreprenant, il aurait fallu réagir, cependant sa présence la calmait et elle passa donc outre ce geste déplacé.

Comme toute excuse il lui dit que l'hôte des lieux prenait quelque peu possesions de ces membres, et qu'il ne pouvait alors plus en user à sa guise. Sur ces quelques mots d'explication assez peu cohérente, mais apres tout possible vu tout ce qui se passait en ce lieu, sa main vint se poser sur les fesses de l'elfe.

Mouvement volontaire où non, je peux pas laisser passer un tel geste sans réagir. Mais comment? si c'est volontaire quoi que je fasse il le meritera mais si ca ne l'est pas le pauvre souffrira une fois de plus...

Elle saisit donc la main baladeuse afin de la retirer de son postérieure et de facon à ce qu'elle ne s'y aventure plus, elle la tint dans son dos, légèrement plus haut que la taille. La jeune elfe ne s'était jamais retrouvée face à autre chose qu'à un barbare saoul et puant. Elle ne savait absolument pas comment réagir face à Avalone.

Il avait réussi à la calmer ce qui était déjà une bonne chose... Mais la situation ne s'arrangeait en rien. Leur hôte semblait bien decider à profiter de la soirée pour s'amuser un peu avec ses nouveaux pantins...

George Nombre de messages : 148 Date d'inscription : 21/07/2005

Alors qu'Avalone passait son bras autours de la taille de d'Aénoria, un phénomène étrange se produisit. un souffle glacial vint percuter son oreille et la voix de l'Hôte s'y infiltra.

Un croque mort embarassé, à l'approche de sa mort, décide de partager son héritage de 17 kalys entre ses trois fils. L'aîné héritera de la moitié de la collection, le cadet du tiers et le benjamin du neuvième. Confrontés à l'indivisibilité de 17 par 2, 3 et 9, les trois frères vont trouver le plus vieux sage des terres d'argent. Celui-ci, fin savant, leur propose une solution qui, sans avoir recours à une refonte, respecte les volontés du vieux croque mort.

Peux tu me dire, toi qui est si prompt à répondre, comment le sage arrive à partager le trésor du croque mort ?

Tu as jusquà la prochaine heure pour me répondre. Lorsque l'horloge sonnera les 12 coups de minuit. Tu peux demander de l'aide à tes amis, je m'en moque. Mais ne me réponds pas à côté ou bien tu périra sur le champ. Tu n'as le droit de me donner une seul réponse.

La voix explosa d'un rire dément et se dispersa...

…

Hein…. Que dites-vous…

Qu’est-ce encore que cette espièglerie qui vient me titiller l’intérieur, faisant vibrer la trompe d’Eustache et m'irriter les naseaux…

- Aenoria, avez-vous entendu cette voix glacée qui vient transformer en banquise, mon oreille déjà bien engourdi par vos égarements sonores…

Voila que le bavard caché, se met aux devinettes, manquait plus que cette agacerie de surplus, pour me fiche en rogne sans civilité inutile.

Je tentais de faire en sorte que les mots du bavard ne prennent pas la poudre d’escampette, de mon cerveau déjà trop fatigué et puis, les jeux de réflexion sont difficilement de mise, après ingurgitation de bière à l’excès…

17 Kalis… Trop de frangins… Tiens, pas de frangine ! Hum.. 2, 3… 9…

Put… Hop, bière !

Bière au gosier, je sentais le truc louche se profiler comme l’oiseau de mauvaise augure qui aimait à parler dans mon crane... Je me replongeais dans mes réflexions difficiles.

Les douze coups approchant, je devais me hâter et je me mis à penser à un vieux sage, un peu grippe-sou et qui m’avait appris quelques trucs…

Je n’osais pousser un cri, par trop avant-gardiste, mais je gueulais devant Aenoria ébahie :

- Le sage leur prête un Kalis, pour en faire 18 et tous comptes effectués, il le récupèrera…

Oufffff… Petit doute, on sait jamais avec l’autre sournois…

Voilà qu'Avalone se mettait à parler tout seul...

une voie? quelle voie?Je n'ai rien entendu...

une devinette, des kalys, des frangins pas de frangines et des chiffres?

Décidement le pauvre semblait interieurement torturé par le maître des lieux. Mais il ne se laissait visiblement pas abattre, il vida ses biere plus vite que son verre ne se remplissait. Et en plus il buvait seul, sans même penser à partager...

Et là, il lui beugle aux oreilles

- Le sage leur prête un Kalis, pour en faire 18 et tous comptes effectués, il le récupèrera…

Il semble visiblement satisfait d'avoir heurté l'ouïe de l'elfe, peut etre une vengeance pour ses cris précédents

Aieeeuh... est ce que tu va m'expliquer ce qui ce passe où tu vas continuer à beugler des trucs incohérents? Et puis arrêtes de me vouvoyer j'ai horreur de ca!

Espiegle Nombre de messages : 137 Date d'inscription : 26/06/2005

"Ma poule, je relève ton défi."

Yassinda lève son verre en regardant la poitrine de son adversaire.

«Que la meilleure gagne ma jolie!» Crie-t-elle joyeusement

Elle se sent légèrement gonflée, comme si elle avait trop bu ou trop mangé… Pourtant, elle a encore faim et soif.

Événement 1

Lorsque les murs se mettent à trembler et que le sol bouge sous ses pieds, la jeune femme a déjà des sueurs froides, elle regarde les alentours d'un air effarouché. En posant les yeux sur sa main, elle remarque qu'elle est accrochée à une autre main… Qui n'est pas la sienne… Elle relève la tête et voit l'une des invités, Jessaryn qui la regarde, semblant attendre quelques choses. Yassinda lâche la main de la femme rapidement et lui lance un regard courroucé en s'attardant un peu sur ses cicatrices…

«Oui?»

Dans la voix perce une pointe d'agacement… Pourquoi ses mains sont sales… Pourquoi elle a un arrière-goût de gibier dans la bouche… Pourquoi elle se met à regarder les décolletés des femmes présentes… Yassinda se dépêche de relever les yeux rouges de confusion.

C'est une voix d'outre-tombe qui la tire de ses pensée, froide, distante… l'inquiétant message vise directement Avalone… Ses mains deviennent moites, elle est secouée de frissons… Puis, Valheru l'elfe…

«Je ne comprend rien… Faut que je sorte d'ici…»

Événement 2

L'esprit embrouillé, elle regarde les gens présents, elle ne se rappelle pas en avoir vu autant… Un homme étrange retient son attention, il semble s'étouffer, Yassinda veut se lever afin de l'aider, mais sa tête tourne énormément…

«Pourtant je n'ai pas bu… Enfin… Pas vraiment»

Le visage interrogateur se transforme rapidement en une mine dégoûtée et effrayée… Du sang, du sang partout… Une odeur de putréfaction lui chatouille les narines. Yassinda est saisit de panique, elle titube vers la porte quand la noirceur s'abat sur la salle, elle continu cependant de reculer ignorant ou elle marche.

La lumière revient aussi rapidement qu'elle était partie, plus aucune trace de l'horreur qu'elle a vue… Coup d'œil autour d'elle… Yassinda sursaute, elle se trouve dans le cadre de porte sans que cette dernière n'attente à sa vie… La jeune femme recule vers le hall, puis avance dans la salle commune… Puis recule encore… Rien.. La bête de bois semble vouloir la laisser tranquille… Elle pousse un petit rire moqueur et satisfait et avance un pied en direction de la salle commune.

* BAAAANGGGGG *

La porte fend l'air et vient se cogner au délicat visage de Yassinda, celle-ci porte machinalement sa main à son nez, un liquide chaud coule sur ses doigts.

«Rhaaaaaaaaa!!!!!!!!!!!!!! Saleté d'Pote! J'te hais fougnu magnoir à la gon!!!!

Evidement, la poignée refuse de concéder le passage, la jeune femme se retourne furieuse, la main toujours plaquée au visage pour retenir le sang. Elle fait quelques pas en direction du hall lorsqu'elle entend le grincement particulier d'une porte qui s'ouvre… Elle se retourne, le passage est ouvert. Yassinda fait deux pas en direction de la pièce principale, la porte se referme aussitôt.

Son pied viens frapper le mur dans un grand boum, elle est furieuse, ce manoir ce joue d'elle.

«Tu v'la me l'payer! Ezpèze de zale minabe!!! Tu ne m'auras ba!!!!»

Yassinda pousse un long soupir, qui peut bien s'amuser aux dépends des invités… Sa raison lui dit de fuir rapidement l'endroit, mais certaines de ses sœurs sont toujours présentes… Et puis sa curiosité l'emporte toujours… Elle trouvera l'hôte...

«Arf... je bisse le sang... faut que je gnétoi le tout»

* BAAAANGGGGG*
La porte résiste une première fois, renouvelant la poussée, cette fois-ci elle s’ouvrit dans un sinistre grincement, pénétrant dans la pièce, visiblement une grande salle.

Face à lui une jeune femme un peu blafarde, la main plaquée sur son nez, duquel s’écoule un liquide écarlate… du sang.

«Tu v'la me l'payer! Ezpèze de zale minabe!!! Tu ne m'auras ba!!!!»

Ecarquillant les yeux, accusant le coup de la volée d’insulte… Etrange jeune femme.

«Arf... je bisse le sang... faut que je gnétoi le tout»

« Euh désolé… », dit le jeune homme embarassé

Kalbyrsh a écrit:: J'observe l'assemblée... entends les moindres paroles de chacun, sans les comprendre..

Quand tout se met à trembler autour de moi, je redouble d'attention, j'entends des bruits de pas!
Mon maître m'a dit d'être gentil avec les gens dans cette pièce, en haut, c'est autre chose...
La faim tord mon ventre, les amuses bouches me lassent, je veux une chasse, je veux traquer ma proie...
Quelque chose au fond de moi se souvient que j'étais différent, avant, je vois des scènes de chasse,
non pas enchaîné et laché à la dernière minute sur mes proies, mais riant et dialoguant avec mes compagnons, mes maîtres d'aujourd'hui...

Le vacarme a fait relacher la surveillance de Torak, j'en profite, arrache la chaîne de ses mains et cours vers la sortie de la salle commune,
bien décidé à monter les escaliers et traquer ce qui semble s'y trouver...

"Kal, non !!!!!!!! Couché, au pied, sale bête!!!!!!!

rhââââââââ, cet abruti s'est encore échappé. Rassurez-vous, il vous 'considère' comme ses amis tant que vous nous touchez pas à un poil de Slanesh, Rirof ou moi, huk huk huk

Mais bon, je plainds le maître de Maison, ahaahahahahah"

A ce moment

Evenement 2/5

D'abord surpris, le barbare se mit à hurler

"Encore un truc de tarlouze en robe !!!!!!! Rhâââââââ, ces gens sans scrupules usant de magies et de brols, pfffffffffffffff, je commenàe de plus en plus à douter des intentions de notre hôte mais bon, il va pas m'empoisonner l'existence toute la soirée, le gaillard"

Torak se mit debout, faisant basculer sa tête à gauche puis à droite, craquant son cou, roulant ses épaules qui émit encore quelques craquements sonores.

Il observa les jérémiades ambiantes et les pelotages pseudo-réconfortant

"Ah, il s'embête pas le bougre" pensa Torak obervant Avalone et Aénoria

A ce moment, Avalone, blanc comme un linge, le regard hagard, semblait possédé

Puis il redevint normal, quelque peu groggy et se mit à réfléchir tout haut, parlant d'énigme, de Kalys, ......

"
Il sortit un couteau, tailla un borde de la table pour en faire un cure-dent et tout en essayant de retirer un morceau récalcitrant, il se diriga vers la sortie, à la recherche de Kal et du Mâitre

Il croisa Yassinda s'acharnant avec Galahad pour ouvrir la porte avec un sourire aux lèvres, il aida à relever la demoiselle

"Apparament, il n'y a pas que l'hôte qui est jouette, ahahahah. Faut pas voir du para-normi, paranarm, bref des trucs bizarres partout

Bon, excusez-moi, je m'en récupérer l'autre coyotte, il risque d'avoir besoin d'un coup de main s'il rencontre notre hôte.... quoique........hin hin hin"

Le barbare quitta la pièce

Après que les murs se soit mis à trembler, que Yassinda lui est lâché la main, Jessaryn prêta attention à son autre main. A son doigt, plus particulièrement, la bague brulait de plus en plus son index.

Maligne, tu aurais du laisser cette bague où elle se trouvait... Qu'est-ce qu'on va faire de toi ma pauvre fille...

Après plusieurs tentatives infructueuses pour enlever la bague, d'étranges choses se produisirent.

Beuuuurrrkkkkkkkk

Ne pouvant retenir une mine de dégout, Jessaryn devient blafarde en apercevant ce qui se trouvait sur la table. Oubliant la moindre politesse, totalement effrayée et paniquée, elle s'enfuit de la Salle Commune. Encore heureux que Galahad et Yassinda s'étaient chargés de la porte. Voyant la porte du petit salon à demi-ouverte, elle y pénétra.

Rend cette bague et va-t'en d'ici...

Démon mineur Nombre de messages : 380 Date d'inscription : 25/07/2005

Je me levais, la soirée devenait fort divertissante à mes yeux.
Que de senteur esquisse venait à mon esprit. La peur qu’il régnait ici, me comblait.
Décidément, notre hôte était béni. Quel cadeau ! Trop généreux à mon encontre !

Mes yeux de braise et mon sourire ! Voilà se qu’il faut pour le servir !

Devant la panique, je devais agir !

Je m’adressais à tous à haute voix pour que les sourds puissent aussi m’entendre !

- Bienvenue en ce lieu, chers convives ! Je représente notre Hôte ! (Mon plaisir était à son comble) ….. Je suis chargée de vous accueillir et vous remercier de votre venu !
Il est important que vous m’écoutiez !

- Je suis chargé, pour ceux qui ne l’auront pas fait encore, de vous faire la visite du manoir de mon maître !
Cette expédition, vous devez la faire, son courroux n’est pas a souhaiter sur votre tête !

Tous les yeux se braquaient sur moi. (Haaaaa ! tant de peur, je devais résister)

- Il vous invite à le retrouver dans la cave, des bienfaits vous y attend !
Descendons maintenant ! Il ne faut pas le faire attendre !
(Je hurlais l’ordre)

MAINTENANT !

il me fallait retrouver les échappés !

Voila, Shariel était la, longeant les murs pour ne pas se faire voir, et enfin, elle trouva ce qu'il restait de la porte.

*C'est une bonne initiative Sha! Si tu venait a mourir, eux ne mourrait pas!
Tu as déja ta place au Paradis, Sha.... Allons-y, trouvons le, tuons le et partons, sans même que les autres ne nous est vu!
Je pense qu'il ne faut faire confiance a personne, a présent, ta vie en dépend*

La chatte et sa conscience et un plan en tête partirent a la recherche de l'esprt mesquin de ses lieux...

[Suite >>> Le Jardin d'Intérieure]

George Nombre de messages : 148 Date d'inscription : 21/07/2005

Sur ma solution, pas de réponse, celui la, à la langue par trop pendue et claudicante, se joue encore de moi, je me fichais de ses menaces, mais lui, par contre, m’intéressait et ce serait un grand plaisir que de lui enfoncer l’orbitaire…

D’un autre coté, l’adorable elfe, séduisante à vœux, ne me laissait pas indifférent et de marbre, certainement pas.
Mais la voix de l’hôte bourgeonnait encore dans ma tête et lorsque j’entendis l’annonce en cri d’étal, intimant un ordre, la curiosité plus que la colère, m’incitait à chasser le personnage.

"Il vous invite à le retrouver dans la cave, des bienfaits vous y attendent !
Descendons maintenant ! Il ne faut pas le faire attendre !

MAINTENANT !"

…

Avalone n’aimait pas les ordres en règle générale, mais venant d’un cul de bastide, il n’appréciait pas du tout…

Il prit délicatement la main d’Aenoria pour y déposer un baisé amical et bourré de mauvaises intentions à faire pâlir une grenouille de bénitier, mais elle l’ignorait et c’était très bien de la sorte…
…

Je dois vous laisser un moment, ma délicieuse amie, mais l’hôte, de sa voix, a initié ma curiosité et je dois savoir, son jeu, fait de moi son pantin et je n’en ai pas l’âme.

Mais gardez-moi une place, je sens que la faim me reviendra vite…

M’adressant à Torak le barbare, je lui demandais de veiller au bien confort de d’Aenoria, celle-ci est finement gentille et drôlement apeurée, c’est en méfiance que je confiais la belle inquiète au barbare…

Tout en désobéissance, je ne jetais pas même un regard vers l’escalier qui descendait à la cave, d’une part ce dernier est souvenir de bosses, d’autre part, l’hôte ne me ferait pas avancer à sa manière, je le défiais sans honte, le sourire hâbleur aux lèvres et sortais de la salle commune, pour me rendre dans le hall, cherchant par la, une issue détournée et sans vu de l’hôte…

Démon mineur Nombre de messages : 380 Date d'inscription : 25/07/2005

Je vie ceux qui voulaient ce soustraire à la visite.

Je viens de me maitre devant la porte. Plus d'issus possible.
Plus personne ne pouvait maintenant sortir.

Le seul échappatoire était la cave.

Je repris ce sourire enjôleur.
- Allos y mes amis, notre Hôte vous le demande ! Que les premiers décendent !

Je poussais gentiment tout ce petit monde vers la cave.

Je pensais au récalcitrant que je devais aller chercher !
Avalone, tu me provoques encore ! Ta magie n'es pas suffisante !
Shariel ! sa méfiance !

Avalone a écrit:: M’adressant à Torak le barbare, je lui demandais de veiller au bien confort de d’Aenoria, celle-ci est finement gentille et drôlement apeurée, c’est en méfiance que je confiais la belle inquiète au barbare…

Le barbare fut arrêté

"Mais euh, enfin, euh....... vous êtes sûr???? non pas que la demoiselle me dérange, c'est Kalbyrsh qui m'inquiète, en fait.... soit, qu'il se démerde......."

Torak prit sous son épaule forte et musclé Aénoria, la protégeant de son large torse afin qu'elle se rassure et se calme.

"beau brin de fille....... miam" pensa-t-il en la regardant

"Allons, allons, jolie demoiselle, aucune raison d'avoir peur. Je vous aurais bien offert un verre mais on nous demande de descendre encore dans cette foutue cave. Ah, j'oubliais, il y a encore des tonneaux en bas!!" dit-il en montrant le crâne lui servant de verre à Aénoria

Il sentit néanmoins la frèle jeune dame encore un peu sur le qui-vive. Etait-ce lui qui la faisait peur???

"Allons, allons, il n'y a rien de plus sûr qu'une barbare, ahah!!!" en bombant le torse d'un sourire moqueur tout en se dirigeant avec la donzelle vers la cave

Cpalire Nombre de messages : 21 Age : 41 Date d'inscription : 28/07/2005

*L'orc était toujours assis sur son divan le regard hagard, rien de ce qui se passait ne semblait l'affecter plus que ca.
Lorsque d'un coup, tel un spasme il se redressa d'un coup sec, la tête levé vers le plafond, tout ses muscles étaient contracté, ses griffes rentraient dans la pomme de ses mains le fesant saigner, et la gueule grande ouverte il laissa échapper un énorme hurlement de douleur avant que ses yeux se revulsent.*

WHHHOOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH

*Quelquechose venait de rentrer en lui, puis il décontracta ses muscles, ses se déserrèrent laissant son sang tomber sur le sol, il rabaissa ca tête scrutant toute la pièce avec ses yeux toujours révulsé, avant que la chose qui le possède prenne la parole.*

Chère voix, j’envoi cette missive par un biais, dont vous ignorez de toute évidence les origines…

Vous vous croyez le maître en ces lieux, peut-être, mais j’ai une petite délicatesse, dont j’aimerais vous entreprendre et je vous l’expose aussi directement que mon humeur me laisse à dire…

Allez au Diable !

Eberlué face à tout ces teint blafard. Il y avait là des visages qui me semblaient familiers, comme venus d’un autre temps, d’un autre rêve.

« Galahad, pour vous servir », exécutant une petite révérence la main droite sur le cœur.

Apparaissant dans son dos :

« Bienvenue en ce lieu, chers convives ! Je représente notre Hôte ! (Mon plaisir était à son comble) ….. Je suis chargée de vous accueillir et vous remercier de votre venu !
Il est important que vous m’écoutiez !

- Je suis chargé, pour ceux qui ne l’auront pas fait encore, de vous faire la visite du manoir de mon maître !
Cette expédition, vous devez la faire, son courroux n’est pas a souhaiter sur votre tête !

- Il vous invite à le retrouver dans la cave, des bienfaits vous y attend !
Descendons maintenant ! Il ne faut pas le faire attendre !

MAINTENANT ! », hurla t’elle.

Se prenant une poussette au passage.
A laquelle, il rétorqua par un regard des plus dûr.

Par toutes les branches de l’Etoile Céleste, que se passe t’il donc ici ?..

Puis, dit d'une voix ferme :
« Madame, je ne sais qui vous êtes, mais je me dois de vous indiquer que je suis fort marrie d’un tel accueil. Je veux bien comprendre votre désappointement face à mon retard, - pour cela veuillez accepter toutes mes excuses -. »

Démon mineur Nombre de messages : 380 Date d'inscription : 25/07/2005

- Galahad, veuillez excuser mon désarroi ! Je ne suis guère habituée à jouer les maîtresses de maison ! Pouvez vous veiller à ce que les autres invités descendent à la cave pour être présenté au maître de ces lieux !
Je dois aller chercher ceux qui ce sont perdu !

Je lui laissais un temps de réflexion avant d’ajouter ;

- Vous avez toute ma confiance ! Il ne doivent pas en ressortir, tant que le maitre n'est pas venu ! ..... Ma vie en dépend !

Mes yeux de braise étaient en action.

Je dois retrouver Shariel. Mon odora me ménera à elle .

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