La salle commune

Citation :

Notre hôte saurait-il nous jouer un quelconque morceau ou nous mettre une quelconque musique afin de faire bouger ces dames et ces messieurs ? Le manoir est comme qui dirais figer par vos supercheries.

Alors que Valheru vient de prononcer ces mot sa gorge se retrouve enserrée par une griffe invisible. Le pauvre perds la vue et sa vision devient noir. C'est alors que des lettres de sang viennent se déposer sur ce rideau sombre.

Je suis dans l'étang.
Au fond du jardin.
Au début de la nuit.
À la fin du matin.
Qui suis-je?

Enfin la griffe se dessert et laisse Valheru pantelant. Une petite voix résonne dans sa tête :

"Tu as jusquà la prochaine heure pour me répondre. Lorsque l'horloge sonnera les 12 coups de minuit. Tu peux demander de l'aide à tes amis, je m'en moque. Mais ne me réponds pas à côté ou bien tu périra sur le champ. Tu n'as le droit de me donner une seul réponse."

La voix explosa d'un rire dément et se dispersa...

Va t'en, arrête tes supercheries, hôte toi de mon esprit lâche que tu es...

Il avait crier ces mots un peu trop fort et quelques invités se retournèrent...Reprenant son calme et ne faisant attention aux réactions diverses, l'elfe répondit à cette "menace"

Très cher hôte, ne t'avais-je point prévenu que ton assurance bien trop forte en toi était ton défaut majeur ? Inutile de te parler à voix haute je sais que tu m'entends, tes pouvoirs sont grands mais sache que Valheru ne s'est pas encore dévoilé à cette assemblée...Je hais le sang, je hais la mort, je hais toutes les choses horribles de ce monde et je hais par dessous tout les lâches...Sache que je viendrais te trouver...
Ah j'allais oublié : La lettre "N" sera ma réponse à ton énigme

Valheru était tout de même quelque peu surpris par les pouvoirs étranges de cet hôte, ses pouvoirs étaient maléfiques, aucune bonté dans sa voix ni dans ses faits... et dire qu'il allait le rencontrer en premier (voir Evènement 3 )

Pourquoi ne me dis tu pas où tu te caches ? Je n'aime pas trainer dans tout ces couloirs...Tu n'es pas obligé de le crier tout haut, simplement t'introduire dans ma tête pour me le chuchoter...en intime tous les deux...

"Bien je ne saisis pas tout ce qui ce trame ici, mais au moins ceci est assez clair."

Regardant le gabarit de Torak, au moins avec un gaillard comme celui là, nous ne risquerons pas grand-chose.
Puis posant la main sur la garde de son épée, pour se rassurer.
"Bien, descendons à la cave, puisque c’est là que se cache notre étrange hôte."
Regardant les convives rassemblés, ne pouvant masqué son inquiétude.

Cela fait seulement quelques minutes que je suis là et je ne le sens pas, mais pas du tout ce coup là… ça m’apprendra à arriver en retard.

Que de bruit, de cris, de vitres cassé, de courant d'air... Et de la magie de pacotille par dessus tout! Encore un mage qui s'ennuyait et a voulus tester ses nouveaux sorts d'illusion...

Pitoyable pièce a machine!!!

Gaïanne toujours a coté de ce nain qui décidément était tout aussi impoli qu'elle, alla s'affaler dans un fauteuil. Même si elle était persuadé que tout ceci n'était que pur mise en scène, quelques frissons vinrent lui hérisser sa fine pilosité.

L'hôte a l'air de vouloir s'acharner sur des gens en particulier, laissons le s'amuser encore un peu... s'il m'agace, je me lèverais alors... Mais pour l'heure, observons le magnifique spectacles de ces convives blanc comme des mort de peur
En tout cas je ne quitte pas mon fauteuil,il peuvent aller ou ils veulent, je ne bougerais pas

Le barde est redevenu maître de ses pensées et c’est avec sa désinvolture habituelle qu’il se dirige vers l’entrée de la salle commune…

Soudain, un rugissement provient du dehors, effrayant, sauvage…

« ASHRAK ! ASHRAK ! ASHRAK ! Ashrazg va bien manger ! »

Plus question de ce cacher, s’il s’agit d’un nouveau maléfice, il y fera face bravement.

Le paladin se retourne vivement.

Point de maléfice… Enfin, façon de parler… Une orque, puissante, rugissante, sauvage, munie d’une massue terrifiante… Le barde comprend en cet instant que son espérance de vie est inversement proportionnelle à la durée qui sépare la nouvelle invitée de son dernier repas.

Il est aux aguets, mais tente néanmoins de lui sourire. S’inclinant en une légère révérence à droite de l’entrée de la salle commune, l’homme murmure :

« Bien le bonjour charmante… hummm… demoiselle. Après vous…
Ce sera un grand honneur que celui de savourer les surprises que notre hôte a préparées à notre intention en votre compagnie… »

A tout hasard, un minuscule tourbillon vient de prendre naissance au creux de la main droite que Slinger dissimule derrière son dos, et un habile mouvement pendant la révérence a fait apparaître sans un bruit l’éclat de quelques pouces de métal au niveau de sa hanche droite, contre laquelle il a replié son bras gauche en signe de gallant respect.

De l'agitation, des cris, des menaces et de la drague. Cariboux n'en avait cure, et n'avait aucune envie de redescendre à la cave: Il avait déjà un tonneau de bière... qu'il ouvrit pour passer le temps.

Glou

Glou

Glouglouglou

...

Ashbazg, déboulant massue dressée, piler net devant petit humain. Ashbazg contente car diner servi. Elle, lever Massue lorsque vermine humaine parler à Ashbazg dans un langage incompréhensible pour elle.

« Bien le bonjour charmante… hummm… demoiselle. Après vous…
Ce sera un grand honneur que celui de savourer les surprises que notre hôte a préparées à notre intention en votre compagnie… »

Ashbazg pas contente, mais pas contente du tout. Asbazg secouer la tête et pousser beuglement tonitruant dévoilant belle dentition.

Ashbazg s'approcher du petit humain, massue en main, se pencher au dessus de lui et... sniff...sniff le sent.

"Pouahhh !!! Ashbazg pas te comprendre, mais toi sentir pas bon. Toi sentir les fleurs. Peuhhh Ashbazg déçue. Toi être incommestible !".

Ashbazg baver de mécontentement sur petit humain qui sent pas le marécage et lui souffle son haleine aux senteurs de vase et de viande avariée. Ashbazg fière de son haleine !

Ashbazg regarder petit homme et le pousse du coude. "Toi dégager... Tu rends malade Ashbazg avec tes fleurs !".

Ashbazg pousser grognement et lui mettre massue devant son nez pour que petit humain comprenne...

Le nain leva un sourcil:

Une Orque? Mmmmh... un peu d'animation, ça change des elfettes... pensa-t-il. Il n'aimait pas particulièrement les Orcs non plus (en fait, il n'aimait pas particulièrement qui que ce soit, à part les nains), mais le caractère de celle-ci lui plaisait, et elle semblait plus intelligente que beaucoup de représentants de sa race. Il la regarda. Ni amicalement, ni inamicalement, il se contenta de la regarder, pour voir sa réaction.

Le nain répondit à haute voix au murmure qu'il avait entendu siffler à ses oreilles:

"Non mais ça va pas? J'ai rien dit, je t'ai même pas parlé! Et d'abord, qui es-tu? Montre-toi, et affronte ma hache, si tu n'es pas un lâche! Viens faire connaissance avec le tranchant du métal de nos mines!"

Quant au froid, magique ou non, il s'en foutait, il faisait plus froid encore dans certaines galeries, à la mine...

Quoique... la sensation de froid s'insinuait profondément en lui, gagnant la gorge, la trachée, les poumons, les bronches... les cordes vocales? Il ne savait mêem pas qu'on pouvait sentir ses cordes vocales, même en beuglant comme un veau, et pourtant, il les sentait atteintes.

"Ca va pas se passer comme ça... glouirk! J'ai plus de voix!"

Il était devenu muet. Ceci dit, tout le monde pouvait voir qu'il était furieux, à la façon dont il trépignait sur place, rouge de colère, ponctuant ses mots inaudibles de coups de hache dans le vide. Il se doutait bien que c'était une manoeuvre pour l'attirer à la cave, mais cela ne fit que le conforter dans l'idée qu'il ne fallait pas bouger d'ici, ne serait-ce que pour faire enrager l'hôte...

Le nain ne parlait plus

(dieu merci, sa voix m'ayant percé les timpans, je le préfère muet)

Merci maitre du manoir !!!

Gaïanne attrapa un verre sur la table qui semblait encore propre. Elle le remplis et bu une longue gorgé, puis s'essuya la bouche du revers de sa main! Elle commençait a être agacé par tout ce "tralala" comme elle disait

ET moi maitre de ces lieux, a quoi ai-je droit ??? serais-je discriminé ??? Mouhahaha !!! Ou bien vous allez attendre que je descende a la cave , ce que je ne ferais évidemment pas !

Le souffle glacé entra en elle par ses orbites, ce voile qui pourtant lui brulait les yeux. Cet esprit, ce specte brumeux glissa dans sa gorge, lui rappant la traché...
Gaïanne tombea a genoux Puis comme dans un bond puce, avec toute la puissance d'une fusée magique de gandalf, l'esprit la fit viollement se relever, en profitant pour refaire chemin inverse et exploser dans son cerveau.
Gaïanne, debout, vacillante, se tourna vers le nain muet, l'observa en silence quelques instant sans le moindre geste, puis en l'espace d'une seconde, elle fondis sur lui comme une furie, s'accrochant a son cou et se laissa tomber.

Maitre nain, maitres nain, enmenez-moi ou bon vous semble, vous êtes fabuleux, j'ai ouïe dire que l'on trouvait des chambres confortables a l'étage, je vous en conjure, oh, granduiose maitre nain, je suis a vous...

Voyant le nain se tordre de douleur, essayant de parler puis n'ayant plus que ses jambes pour s'exprimer, Valheru s'approcha de lui...

Laisse toi faire mon ami, cet hôte ne m'inspire aucune confiance...

L'elfe entoura d'une main ferme mais amicale et douce le cou du petit homme :

Que le son de ta voix retrouve son éclat,
N'ai aucune crainte car le charme disparaitra,
Que le calme revienne dans ton esprit,
Afin de mieux discuter avec tes amis.

Une faible lueur blanche émana de la main de l'elfe caché sous son manteau noir. Le contraste était saisissant et il vit dans les yeux du nain une lueur de frayeur...

N'ai crainte mon ami, je n'ai aucune rancoeur envers ceux de ton peuple.

Iil relacha son emprise...Il vit alors des flammes envahirent les tapisseries puis disparaitre et une elfe non lui de lui éclata en sanglot.

Cette fois cher hôte, tu es allé trop loin...

L'elfe enleva sa cape...

Un pantalon d'une blancheur divine etait son simple habit. Il avait le torse nu..En revanche, son dos possédait quelque chose de mystique.. deux grandes ailes de la hauteur d'un homme.

Il s'écria d'une voix forte qui résonna dans tout le manoir et dans toutes les têtes des invités prséents :

Glin Celeb *

Une lumière d'une blancheur éclatante envahissait petit à petit la grand salle.L'ombre apparaissait à mesure que la lueur se propageait dans la pièce...Ils allaient enfin le découvrir...

(*Lueur divine)

La magie de l'elfe était puissante, mais le nain n'aimait VRAIMENT PAS les elfes, ni leur magie, ni même la magie de qui que ce soit. Et il était fâché. Fâché tout rouge. Il sentit bien le flux magique pénétrer son corps, tout comme l'avait fait la magie de l'hôte, mais cette fois il y résista. L'elfe avait beau avoir des paroles rassurantes, il ne lui faisait pas confiance. Faisant un immense effort de volonté, il libéra son esprit de l'emprise de la magie elfique... et resta muet.

Et maintenant, s'occuper de Gaïanne. Non mais, qu'est-ce qui lui prenait, à celle-là? Elle était grotestque, à se pendre ainsi au cou du nain: elle était pratiquement couchée par terre! Et en plus, elle lui tirait la barbe!

"Gaïanne... je ne sais pas ce qui vous prend tout à coup, mais si vous ne cessez pas vos âneries tout de suite, je vais devoir vous taper sur la gueule!"

Evidemment, personne n'entendit ce qu'il avait essayé de dire. Dépité, il se contenta alors d'essayer de décrocher la guerrière de son cou... mais elle y était bien aggripée! Allait-elle le lâcher? Retrouver ses esprits? Lui rouler un palot, et risquer sa vie? Ha, mes amis, quel suspense!

*Apres que la chose est pris possession du corps de Khuirm pour parler, celui ci se retrouva à quatre patte, fatigué, la gueule grande ouverte qui laissait échapper son haleine putride ainsi que des morceaux de bave, il fixa le sol de ses deus grand yeux noirs.
Ensuite il commenca a froncer ses sourcils, serrer sa machoire tout en retrousant ses babines, son souffle s'accélérant et d'un seul coup il bondit dans un cri rageur.*

GGRRRROAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH!!!!!!!!!

*Tête baissé il charga comme un taureau piqué par on ne sait quelle mouche en direction de la cave, poussant ou renversant tout ce qui se trouvait sur son passage et entra dans les escaliers a vive allure*

BAAMMMM!!!

BAN BOUMM BADABOUM!!!!!

*Plusieurs bruit sortirent de l'entrée de la cave juste apres son entrée*

Gaïanne dans sa fougue, toujours accroché au cou du nain, essaya alors prendre sa hache, de la lui enlever des main, elle gesticulait pour débarasser les lentour et alla même jusqu'a prendre le tonneau du nain
Puis elle se mis devant le nain et, lui tenant sa tête entre ses fines main, Gaïanne lui déposa un baiser sur ses lèvres, avec un peu de mal, compte tenu de l'épaisse moustache qui faisait obstacle...

Voila ce que Gaïanne voyait, hors de son corp elle assisstait a cette scène grotesque il est vrai et combien blessante.
Elle était comme un fantome hors de son corp qui n'était plus sien
Impuissante, elle courait sur son corp pour la séparer du nain, mais au lieu de se heurter a eux, elle passa au travers. Hargneuse elle voulus saisir la hache pour fracasser la tête de son corp, mais en vain, l'arme restait a terre.
Dans le néant de la dimenssion dans laquelle elle se trouvait lle hurlait

Hote de malheur,pourquoi me fais tu subir ce supplice, rends moi mon corp, et fais sortir cette harpie de ma chair

Mais biensur personne ne l'entendais

Soit, si l'on refuse de nouveau ma magie, après avoir refuser à deux reprises d'écouter mes paroles, je n'ai plus rien à faire dans ce manoir. Ma présence parait hostile, ma magie n'ai pas la bienvenue, je vous souhaite bien du courage pour arriver enfin à voir notre hôte..

L'Ange s'apprétait à sortir, non pas pour aller à la cave mais bien pour quitter ce manoir. Rien ne l'obligeait à rester parmi tout ces êtres différents...Et cet hôte plus lache encore que ces invités...

Je vous souhaite tout de même bonne chance, je n'ai aucune rancune envers toi petit homme, malgré ta haine envers moi et mes semblable bien que je doute que tu ai déja vu un ange venir à ton aide. Tu as refusé la mienne car je suis elfe, je le regrette.

Hors de son corp, Gaïanne, enfin plutot son esprit, vint se poster devant cet elfe qui allait quitter la pièce. Il avait de la magie tres puissante en lui. Elle savait qu'il pourait l'aider.
Mais comment faire pour qu'il la voi. Elle traversa le corp de cette elfe plusieurs fois, éspérant qu'il sente sa présence.

Un baiser! Ca, c'est trop! Le nain repoussa violemment la guerriere humaine, ouvrit son tonneau de bière, sauta dedans (le tonneau était assez grand pour qu'il s'y tienne à genoux, et il y manquait assez de bière pour que sa tête reste émargée), saisit le couvercle qui traînait à côté, et s'enferma dedans, s'agrippant à un tire-bouchon qu'il y avait planté et qui faisait à présent office de poignée. Rien ni personne ne le ferait sortir de son fort de fortune!

Gaïanne, du moins son corp, tambourinna comme une furie au tonneau...

Ouvre moi ouvre !!!

Elle le bascula alors et commença a le faire rouler de part en part de la pièce

Allez sort !!! Viens avec moi, ne dis pas que tu n'as pas apprécié cette petite attention de ma part!

Elle continua ainsi encore et encore a faire rouler le tonneau inlassablement

Le nain était secoué, mais il ne se cognait pas aux parois du tonneau, pour la bonne raison qu'il le remplissait bien: ses épaules touchaient toutes les deux les parois. Par contre, il avait de la bière plein le nez, ce qui était déjà beaucoup plus indisposant.

Heureusement, comme tous les nains, il avait une grande capacité d'absorbtion d'alcool: Il décida de boire toute la bière qu'il pouvait, pour ne pas mourir bêtement noyé. Au bout d'une minute douze exactement, il n'y avait plus rien qu'il pouvait boire: il n'avait plus de bière que jusqu'à mi-cuisse, impossible de se noyer, même si le tonneau était couché. Et il pourrait toujours boire le retse rapidement si elle avait la mauvaise idée de retourner le tonneau.